Rome, années 1930. Libera, fille d'un anarchiste exilé, en a conservé les idées et manifeste avec ostentation sa haine du fascisme. Quoique son attitude première soit plus le reflet d'un acte de refus que celle d'un militantisme politique avéré, Libera est de plus en plus menacée : elle est, entre autres, accusée de provocation par les forces de l'ordre parce qu'au défilé traditionnel du 1er mai, elle et ses deux enfants étaient de rouge vêtus...